1 Thimothée 3,1-10

Elle est sûre cette parole : celui qui aspire à la charge d’épiscope désire une noble fonction.2 Aussi faut-il que l’épiscope soit irréprochable, mari d’une seule femme, qu’il soit sobre, pondéré, courtois, hospitalier, apte à l’enseignement,3 ni buveur ni batailleur, mais bienveillant, ennemi des chicanes, détaché de l’argent,4 sachant bien gouverner sa propre maison et tenir ses enfants dans la soumission d’une manière parfaitement digne.5 Car celui qui ne sait pas gouverner sa propre maison, comment pourrait-il prendre soin de l’Eglise de Dieu ?6 Que ce ne soit pas un converti de fraîche date, de peur que, l’orgueil lui tournant la tête, il ne vienne à encourir la même condamnation que le diable.7 Il faut en outre que ceux du dehors rendent de lui un bon témoignage, de peur qu’il ne tombe dans l’opprobre et dans les filets du diable.8 Les diacres, eux aussi, seront des hommes dignes, n’ayant qu’une parole, modérés dans l’usage du vin, fuyant les profits déshonnêtes.9 Qu’ils gardent le mystère de la foi dans une conscience pure.10 On commencera par les mettre à l’épreuve, et ensuite, si on n’a rien à leur reprocher, on les admettra aux fonctions de diacres.

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